Elles peuvent être de diverses sortes comme par exemple :
Ces troubles font l’objet d’une prise en charge très tôt après l’AVC, par les rééducateurs : kinésithérapeute, orthophoniste, ergothérapeute (par exemple, la prise en charge orthophonique aidera la patient aphasique et son entourage à mieux communiquer).
La rééducation vise à récupérer le maximum de ce que peut faire la personne grâce à la plasticité cérébrale (réorganisation des réseaux de neurones) ou à apprendre à s’adapter avec un handicap afin de maintenir un maximum
d’autonomie dans le quotidien.
Une rééducation peut durer plusieurs mois. Malheureusement, la récupération complète n’est pas toujours possible. Tout ce travail se fait en étroite collaboration entre les professionnels de santé et le patient. Il s’agit d’une équipe.
On sait qu’il existe des séquelles invisibles après un A.V.C , c’est-à-dire que seule la personne victime de l’AVC va ressentir mais que l’entourage ne va pas forcement constater immédiatement :
TROUBLES DE L’ATTENTION DE LA CONCENTRATION
Au quotidien, la lecture d’un livre ou l’attention nécessaire lors d’une conversation avec une ou plusieurs personnes va demander beaucoup plus d’effort. Parfois, on va devoir arrêter de faire cette activité.
RALENTISSEMENT PSYCHOMOTEUR
La personne va se rendre compte qu’elle réalise des actes de la vie quotidienne beaucoup plus lentement et donc va devoir prendre plus de temps pour les faire.
LES TROUBLES DE L’HUMEUR
Souvent, on constate une « labilité de l’humeur » ; les émotions peuvent être incontrôlables voir même inappropriée à une situation vécue. La personne va passer d’une émotion à une autre sans en comprendre la raison. Souvent, les victimes d’AVC sont plus impatientes voir même agressives. En général, au fil du temps, ces troubles s’estompent voir même disparaissent grâce à la maitrise de ses émotions.
FATIGUE ET FATIGABILITÉ
Suite à cet accident, le cerveau a besoin de récupération afin de se reconstruire et donc d’énergie ce qui se manifeste par une fatigue. Après un AVC, de nombreux gestes du quotidien demande plus d’énergie qu’avant (l’habillage, le ménage, les trajets pour aller faire les courses…) et on observe souvent une fatigue qui apparait plus vite qu’avant, appelée fatigabilité. Il est courant que cette fatigue et cette fatigabilité s’estompent dans le temps mais de façon très variable d’une personne à une autre (de quelques semaines à plusieurs mois). Il existe aussi des facteurs agissant sur la fatigue comme la baisse du moral, des traitements… Il est important d’essayer d’identifier ces facteurs pour ensuite, les discuter avec un professionnel de santé (kiné, ergo, médecin…).
LA DÉPRESSION
Cet accident est souvent vécu comme un « choc » car survient brutalement. On peut alors ressentir de la tristesse, du découragement, une perte d’envie, perte d’appétit ou de sommeil. A partir du moment où ces symptômes perdurent dans le temps, ils peuvent alors évoquer une dépression, qui est fréquente après un AVC. Elle est indépendante des séquelles visibles et de l’éventuel handicap de la personne.
ÉTAT DE STRESS POST TRAUMATIQUE
En lien avec la brutalité de sa survenue, l’AVC peut provoquer cet état de stress avec une peur imminente de la récidive surtout dans un contexte rappelant celui de l’accident. Cela peut engendrer des crises d’angoisse, des cauchemars avec des troubles du sommeil.
DOULEURS
Des douleurs vont pouvoir apparaitre à long terme (fourmillements d’un membre, brûlures, décharges électriques, crampes…) ; ce type de douleur peut faire l’objet d’une prise en charge médicale, notamment médicamenteuse.
A côté de cette équipe, il y a l’entourage. L’entourage est ce qu’on appelle les « aidants » : ce peut être un conjoint, un enfant mais aussi un proche, un ami.
En général, les aidants ont un rôle de soutien et d’accompagnement dans cette période qui peut donc être longue et difficile (physiquement et moralement). Ils sont donc sollicités pour beaucoup de tâches comme :
En plus de tout cela, se greffe très souvent une grande appréhension du risque de récidive.
Il est donc important que ces personnes puissent obtenir des informations fiables vis-à-vis de la maladie de leur proche : grâce à cette plateforme mais aussi en posant des questions aux professionnels de santé qu’elles vont rencontrer. En comprenant mieux la maladie, ses origines, ses conséquences à court et long terme, son suivi, ses traitements, elles vont pouvoir mieux faire face aux retentissements sur la vie quotidienne et sur elle-même.
Il est parfois difficile de trouver la « bonne » place en tant qu’aidant. Le rôle principal va être d’encourager la personne à faire les activités dont il est capable. Faire à la place de, n’est pas forcement lui rendre service. Il faut faire preuve de patience vis-à-vis de ces difficultés et de valoriser les réussites. Il faut aussi être vigilant à ne pas trop vouloir préserver la personne (l’empêcher de faire des activités modérées par peur) car cette posture à tendance à plutôt infantiliser la victime d’AVC.
Attention ! le risque est de s’épuiser au fil du temps. Vous avez le droit d’être fatigué vous aussi. Il faut donc ne pas hésiter à demander de l’aide. Cette aide peut venir de votre entourage (famille, voisin …) mais aussi votre médecin traitant ou votre mairie qui peut vous renseigner sur des structures ou associations (cf Près de chez vous) pour une aide régulière ou pour des séjours de répit
Vous trouverez sur cette page, toutes les informations, sur la règlementation et les modalités de mise en œuvre d’aide au quotidien. Dans l’onglet qui suit « adresse utiles », les liens et adresses selon votre région et votre département sont à votre disposition. Cette liste n'est pas exhaustive, n'hésitez à vous renseigner sur les ressources disponibles au plus proche de chez vous, notamment dans vos mairies ou conseils départementaux.
RÉGLEMENTATION
(Décret N°2012-886 du 17 juillet 2012 relatif au contrôle médical de l’aptitude à la conduite (version consolidée au 10 avril 2018).
Arrêté du 18 décembre 2015 modifiant l’arrêt du 21 décembre 2005 fixant la liste des affections médicales incompatibles avec l’obtention ou le maintien du permis de conduire ou pouvant donner lieu à la délivrance de permis de conduire de durée de validité limitée.
NOR : INTS1225493D et Arrêté du 31 juillet 2012 relatif à l’organisation du contrôle médical de l’aptitude à la conduite
NOR : INTS1232113A, l’AVC et l’AIT font partie des pathologies qui nécessitent une validation avant la reprise de la conduite.
Il s’agit de réaliser une consultation d’expertise auprès d’un médecin agrée par la préfecture de votre département. A la lumière des renseignements de votre dossier médical qu’il faudra lui présenter, il va évaluer vos capacités (physique, attentionnelles, visuelles …) à conduire. Il définira en fonction de vos capacités s’il existe des précautions particulières pour la reprise de la conduite (distance, luminosité, accompagnement dans le véhicule….) ou la nécessité d’un aménagement du véhicule.
A partir du moment où vos capacités sont compatibles avec la conduite, il vous remettra un formulaire validant votre permis (sur une durée limitée) que vous devrez télécharger sur le site de la préfecture. Une fois enregistré, vous recevrez un nouveau permis avec une date d’expiration ; vous devrez alors renouveler ces démarches. Ces mesures vous permettent donc de conforter vos capacités à la conduite vis-à-vis de votre assurance automobile.
AMÉNAGEMENT DU VEHICULE
Conditions d’âge :
Quelles démarches :
Se rapprocher de la MDPH pour vérifier les possibilités de prise en charge d’un aménagement du véhicule.
Depuis 2001, en France, toutes personnes en perte d’autonomie et/ou en situation de handicap peut faire valoir ses
droits.
Les Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH) accueil, oriente, informe et traite toutes les
demandes de droits et attributions de prestations. Elle assure l’organisation, le suivi et la mise en œuvre des décisions de la CDAPH (Commission des Droits et de l’Autonomie de Personnes Handicapées). Leurs missions sont d’aider à mettre en place des aides humaines ou des aides matérielles (aménagement du domicile, du véhicule …) aux personnes en situation de handicap.
RQTH (Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé)
Pour qui ?
La RQTH est reconnue à toute personne dont les possibilités d’obtenir ou de conserver un emploi sont effectivement réduites par suite de l’altération d’une ou plusieurs fonctions (physique, sensorielle, mentale ou psychique)
Objectifs :
Bénéficier de dispositifs dédiés à l’insertion professionnelle, bénéficier de l’obligation d’emploi, accéder plus facilement à la Fonction publique, soit par concours aménagé, soit par recrutement contractuel spécifique, bénéficier d’aménagement de vos horaires et poste de travail, bénéficier de soutiens spécialisés pour la recherche d’emploi au sein, par exemple, des services du Réseau Cap Emploi.
AAH (Allocation adulte handicapé)
Pour qui ?
Vous devez être atteint d’un taux d’incapacité (il correspond à l’évaluation de votre handicap) : supérieur ou égal à 80 % ou compris entre 50 et 79 % et connaître une restriction substantielle et durable d’accès à un emploi
PENSION D’INVALIDITÉ
Pour qui ?
Si votre capacité de travail et de gain est réduite d’au moins 2/3 à la suite d’un accident ou d’une maladie d’origine non professionnelle.
Comment faire la demande ?
Soit par votre médecin traitant, soit en envoyant directement le formulaire à la Sécurité sociale (valable pour la CPAM)
Comment ça marche ?
Valable pour la CPAM, conditions différentes en fonction des régimes de sécurité sociale
Pour déterminer le montant de la pension, 3 categories en fonction de la situation
La retraite pour invalidité ne dépend pas de l’âge légal de départ à la retraite.
Elle est calculée en fonction des années de cotisations + complément pour invalidité
La personne ne percevra sa retraite du privé qu’à l’âge légal de la retraite.
La personne pourra travailler dans le privé même après sa retraite pour invalidité, mais elle ne pourra plus travailler dans la fonction publique.
INDEMNITÉS JOURNALIÈRES
*Valable pour la CPAM, voir en fonction des régimes de sécurité sociale
Elles sont versées par l’Assurance Maladie pour compenser la perte de salaire pendant votre arrêt de travail. Calculées sur la base de vos salaires bruts des trois ou douze mois précédant votre arrêt, elles vous sont versées tous les 14 jours.
Si vous êtes salarié, vous percevez des indemnités journalières sous réserve de remplir les conditions d’ouverture des droits, qui varient en fonction de la durée de votre arrêt de travail et de votre situation.
Si votre arrêt de travail est inférieur à 6 mois : vous devez avoir travaillé au moins 150 heures au cours des trois mois civils ou des 90 jours précédant l’arrêt de travail ; ou avoir cotisé sur un salaire au moins égal à 1 015 fois le montant du Smic horaire au cours des six mois civils précédant l’arrêt de travail.
L’indemnité journalière que vous recevrez pendant votre arrêt de travail est égale à 50 % de votre salaire journalier de base. Celui-ci est calculé sur la moyenne des salaires bruts.
La CPAM verse au maximum 360 IJ par période de 3 ans consécutifs (quel que soit le nombre de maladies), sans tenir
compte des indemnités versées au titre d’une ALD.
MI-TEMPS THÉRAPEUTIQUE
Pour quoi ?
Si votre médecin traitant estime que vous ne pouvez pas reprendre une activité à temps plein mais qu’il juge que la reprise d’une activité peut contribuer à votre rétablissement, il peut vous prescrire une reprise de travail à temps partiel pour motif thérapeutique.
Quelles conditions ?
Pour bénéficier d’une indemnisation de l’Assurance Maladie, cette reprise du travail à temps partiel doit :
Quelle durée ?
La durée maximale est de 6 mois, renouvelable 1 fois. Il ne peut être demandé qu’une fois pour la même pathologie.
LE CONGÉ LONGUE MALADIE / LONGUE DURÉE
Dispositif valable pour les agents de la fonction publique, après avis du comité médical.
La demande est à adresser à votre administration accompagnée d’un certificat médical.
La rémunération est intégrale en fonction du CLM/CLD (en fonction de la durée du congé : de 3 à 5 ans).
Comment faciliter mon maintien à domicile sans condition d’âge ?
LE PORTAGE DES REPAS
Pour qui ?
En fonction des organismes, soit pour les personnes âgées, personnes en situation de handicap ou en sortie d’hospitalisation
Comment ?
Prendre contact avec des organismes proposant le portage de repas (centre communal d’action sociale notamment)
Combien ça coûte ?
Prix fixé par les organismes (entre 7€ et 10€).
Possibilité d’avoir repas midi et soir avec des menus adaptés (sans sel, sans sucre).
La mise en place ?
Livraison de repas à domicile tout au long de la semaine.
AIDES MÉNAGÈRES PAR LA MUTUELLE
Pour qui ?
Pour les personnes qui ont besoin d’une aide ponctuelle pour effectuer les tâches ménagères en sortie d’hospitalisation.
Quelles conditions ?
Dépend de votre contrat mutuelle.
Chaque mutuelle fixe ses conditions (hospitalisation en urgence, nombre de nuitées…).
La mise en place ?
La mutuelle s’occupe de mandater une association qui interviendra à votre domicile.
Combien ça coûte ?
Service gratuit, pris en charge dans le cadre de votre contrat mutuel.
LES CESU (CHÈQUE EMPLOI SERVICE UNIVERSEL)
Le Cesu est une offre simplifiée pour déclarer la rémunération de votre salarié à domicile pour des activités de service à la personne.
Pour qui ?
Le Cesu concerne tous les particuliers à différents moments de leur vie, pour améliorer le quotidien, pour la prise en charge de quelques heures de ménage ou pour accompagner une personne âgée ou handicapée. C’est aussi la garantie pour le salarié de disposer de droits à l’assurance maladie, au chômage, à la retraite, etc.
Combien ça coûte ?
Tarif défini entre le salarié et l’employeur.
Déclaration à faire à l’urssaf (calcul des cotisations et bulletins de salaire).
Donne droit à une réduction d’impôts ou un crédit d’impôts.
Comment faciliter mon maintien à domicile pour les personnes de moins de 60 ans ?
SÉCURITÉ SOCIALE
Sous quelles conditions ?
Sous condition de ressources.
Ne pas pouvoir bénéficier d’aides à domicile par le biais de la CAF.
Pour qui ?
Pour les personnes de moins de 60 ans ayant besoin d’une aide-ménagère.
Comment faire la démarche ?
Par le service social hospitalier si la demande est au cours d’une hospitalisation.
Par une association d’aide à domicile conventionnée qui vient à domicile faire ce dossier.
La mise en place ?
Une association conventionnée avec le régime de Sécurité sociale.
Participation en fonction des ressources.
PRESTATION DE COMPENSATION DU HANDICAP (PCH)
Pour qui ?
Pour les personnes dont l’état nécessite l’aide effective d’une tierce personne pour les actes essentiels ; pour les personnes dont l’état requiert la présence d’une tierce personne pour une surveillance régulière ; pour les personnes dont l’exercice d’une activité professionnelle ou d’une fonction élective entraîne des frais supplémentaires du fait de son handicap.
Quel mode d’intervention ?
l’aidant familial dédommagé, l’emploi direct, le service mandataire, le service prestataire.
Comment faire la demande ?
Dossier MDPH en mentionnant une demande de PCH avec aides humaines.
Attention, la PCH ne prend pas en charge : les aides ménagères, les demandes de logement, les demandes d’aide financière, les travaux engagés ou matériels acquis avant le dépôt de la demande, les aides à la parentalité.
CAISSE D’ALLOCATIONS FAMILIALES
Pour qui ?
3 motifs d’intervention :
Pour quoi ?
Pour une intervention individualisée, réalisée au domicile des familles par des professionnels :
Comment ?
Par le biais des associations conventionnées.
Participation en fonction du quotient familial.
Quelles conditions ?
Pour les familles allocataires ayant au moins un enfant à charge de moins de 16 ans ou faisant face à une grossesse ou en démarche d’adoption.
Faciliter mon maintien à domicile pour les personnes de plus de 60 ans ?
CAISSE DE RETRAITE
Pour qui ?
Les personnes retraitées, relativement autonomes (GIR 5-6), qui ont besoin d’une aide ponctuelle pour les tâches ménagères. Elle peut également servir à payer une partie du portage de repas et une partie de l’abonnement télé assistance quand le département n’assume pas la totalité du cout financier.
Comment ?
Lors d’une hospitalisation, par le biais du service social hospitalier.
En dehors d’une hospitalisation, se rapprocher de sa caisse de retraite.
La mise en place ?
Mise en place par une association conventionnée.
Combien ça coûte ?
Conditions en fonction des caisses de retraite.
Généralement, une participation reste à charge en fonction des ressources. Pour une aide momentanée, il existe également l’aide à domicile par le biais des caisses de retraite complémentaire. Les retraités de plus de 75 ans affiliés à une caisse de retraite de complémentaire, peuvent, sous certaines conditions, solliciter l’action sociale de AGIRC et ARRCO. Cette action permet de bénéficier d’une aide-ménagère (ponctuel et gratuit en sortie d’hospitalisation) et d’une facilité de déplacement avec le dispositif « sortir plus » (CESU préfinancés).
ALLOCATION PERSONNALISÉE D’AUTONOMIE (APA)
Pour qui ?
Les personnes de plus de 60 ans rencontrant des problèmes liés à la perte d’autonomie pour accomplir les actes essentiels de la vie, dans les tâches quotidiennes.
Pour quoi ?
Allocation destinée à :
Elle peut être attribuée à domicile, pour contribuer au financement d’aides à domicile (heures d’auxiliaire de vie, adaptation du logement portage des repas…), en cas d’institutionnalisation pour payer en partie ou la totalité des coûts du forfait hébergement.
Comment ?
Remplir un dossier APA, à renvoyer au Conseil Départemental.
Une fois le dossier instruit, une infirmière viendra à domicile évaluer vos besoins et définir un plan d’aide.
Quelles conditions ?
Résider en France
Personnes de plus de 60 ans
Avoir une perte d’autonomie (GIR 1 à 4)
La mise en place ?
Participation financière en fonction des ressources.
Mise en place par une association (mandataire ou prestataire ou de gré à gré).
LA TÉLÉASSISTANCE (En Haute-Garonne)
Pour qui ?
Pour quoi ?
Service gratuit pour l’usager, pris en charge intégralement par le Conseil départemental Haute Garonne (Existe également dans d’autres départements, sous conditions).
Au domicile, un transmetteur est installé et une télécommande vous est remise (sous forme de pendentif ou de bracelet).
À la moindre pression, cela permet d’alerter à distance la centrale d’écoute qui déclenche alors la chaine de solidarité (personne mentionnée dans la demande).
Comment ?
Vous devez compléter le formulaire de demande en ligne et le retourner, accompagné des pièces justificatives au Conseil départemental de la Haute Garonne (Vous pouvez vous référer à la PARTIE 3 - ADRESSES UTILES de votre région ou département).